La journée
en un coup d'oeil
La journée
en un coup d'oeil
La cyberviolence dans les relations intimes des ados
Dans les souliers des jeunes anxieux: le témoignage éloquent d’Alicia
Un petit outil d’intervention qui construit la confiance en soi et la persévérance scolaire chez les jeunes, un message à la fois
Détour dans les particularités des jeunes de la Génération Z
La réalité méconnue et taboue des troubles alimentaires chez les garçons et le témoignage éclairant d’Antoine
pour mieux intervenir
pour mieux comprendre
Sujets d'actualité
Experts-terrain
Témoignages éclairants
Sujets d'actualité
Experts-terrain
Témoignage éclairant
Mamihlapinatapai?
Mamihlapinatapai?
Le mot peut faire peur. Il est reconnu comme étant l’un des plus difficiles à traduire. Pourtant, sa signification est bien simple. Il fait référence au regard échangé entre deux personnes où chacun souhaite initier un changement, malgré une réticence à faire le premier pas. Il nous rappelle que des situations qui paraissent à première vue compliquées, peuvent parfois être en voie d’être résolues grâce à une simple main tendue.
Nos experts
Nos experts
Marilou Ouellet
Spécialiste des troubles du comportement alimentaire
Carol Allain
Spécialiste des générations, auteur et formateur international
Alicia
Témoignage
Tania St-Laurent Boucher
Sexologue au Centre de services scolaire de Saint-Hyacinthe
Antoine
Témoignage
Hugo Lambert
Intervenant psychosocial de formation et coordonnateur du projet UNIMANI
Yves Hudon
Psychoéducateur au Centre de services scolaire des Rives-du-Saguenay et l’instigateur du projet UNIMANI
Formation continue
Formation
continue
Accréditation
Attestation
Le saviez-vous?
pour tous ceux qui travaillent avec les jeunes
Pour tous ceux qui travaillent avec les jeunes
Les Conférences Connexion organisent, depuis plus de 15 ans, des journées conférences sur les jeunes et la santé mentale qui plongent les participants au cœur des réalités affectant la vie des jeunes, à travers des présentations d’experts de tous les domaines.
Des milliers de professionnels et d’intervenants y assistent fidèlement chaque année.
Programmation
Programmation
8h10 - 8h20
Mot de bienvenue
Mot de bienvenue
8h20 - 9h35
Quand la cyberviolence s’invite dans les relations intimes des ados
Tania St-Laurent Boucher
«47% des jeunes auraient vécu de la cyberviolence en contexte de relation intime dans la dernière année»: c’est la nouvelle qu’annonçait, il y a quelques mois, l’équipe du Laboratoire d’Études sur la Violence et la Sexualité de l’Université du Québec à Montréal (UQAM).
Contrôle, harcèlement, surveillance… la cyberviolence dans les relations amoureuses ou intimes prend différentes formes et il n’est pas toujours facile pour les jeunes de la reconnaître.
Pour lui, j’ai l’impression que c’est plus qu’un droit, c’est une obligation que je partage mes codes… Un “pacte” de confiance… Si je ne lui donnais pas mes codes, c’est que j’avais quelque chose à cacher.»
– Propos de jeunes victimes, Laboratoire d’Études sur la Violence et la Sexualité, UQAM.
Phénomène banal? Détrompez-vous. Son impact peut être hautement dommageable. S’insinuant graduellement et sournoisement, elle peut créer anxiété, diminution de l’estime de soi et idées suicidaires.
Quelles formes prend la cyberviolence dans les relations intimes des jeunes? Qui sont les ados qui commettent ces violences et pourquoi? Comment aider les jeunes qui en sont victimes? Et surtout, comment outiller les ados afin qu’iels bâtissent la confiance dans leurs relations intimes sans tomber dans le piège du contrôle et de la cyberviolence?
C’est ce que vient expliquer Tania St-Laurent Boucher, sexologue au Centre de services scolaire de Saint-Hyacinthe.
Plongeon dans la cyberviolence dans les relations intimes, une forme de violence bien réelle qui créer une onde de choc dans la vie de presqu’un ado sur deux.
Tania St-Laurent Boucher est sexologue. Au cours des 15 dernières années, elle s’est rendue dans les écoles et le milieu communautaire du Québec pour donner de la formation et des ateliers aux jeunes et au personnel scolaire. Elle a formé des étudiants en médecine à l’Université de Sherbrooke et des intervenant.e.s en relation d’aide, en plus d’être consultante externe pour Tel-Jeunes, où elle a travaillé pendant plus de huit ans. Actuellement sexologue au Centre de services scolaire de Saint-Hyacinthe, elle est aussi appelée à collaborer à titre de consultante pour différents projets jeunesses, dont la websérie On parle de sexe, diffusée à Télé-Québec. Elle a collaboré à de nombreuses éditions des journées conférences sur les jeunes et la santé mentale des Conférences Connexion.
Tania St-Laurent Boucher est sexologue. Au cours des 15 dernières années, elle s’est rendue dans les écoles et le milieu communautaire du Québec pour donner de la formation et des ateliers aux jeunes et au personnel scolaire. Elle a formé des étudiants en médecine à l’Université de Sherbrooke et des intervenant.e.s en relation d’aide, en plus d’être consultante externe pour Tel-Jeunes, où elle a travaillé pendant plus de huit ans. Actuellement sexologue au Centre de services scolaire de Saint-Hyacinthe, elle est aussi appelée à collaborer à titre de consultante pour différents projets jeunesses, dont la websérie On parle de sexe, diffusée à Télé-Québec. Elle a collaboré à de nombreuses éditions des journées conférences sur les jeunes et la santé mentale des Conférences Connexion.
Quand la cyberviolence s’invite dans les relations intimes des ados
«47% des jeunes auraient vécu de la cyberviolence en contexte de relation intime dans la dernière année»: c’est la nouvelle qu’annonçait, il y a quelques mois, l’équipe du Laboratoire d’Études sur la Violence et la Sexualité de l’Université du Québec à Montréal (UQAM).
Contrôle, harcèlement, surveillance… la cyberviolence dans les relations amoureuses ou intimes prend différentes formes et il n’est pas toujours facile pour les jeunes de la reconnaître.
Pour lui, j’ai l’impression que c’est plus qu’un droit, c’est une obligation que je partage mes codes… Un “pacte” de confiance… Si je ne lui donnais pas mes codes, c’est que j’avais quelque chose à cacher.»
– Propos de jeunes victimes, Laboratoire d’Études sur la Violence et la Sexualité, UQAM.
Phénomène banal? Détrompez-vous. Son impact peut être hautement dommageable. S’insinuant graduellement et sournoisement, elle peut créer anxiété, diminution de l’estime de soi et idées suicidaires.
Quelles formes prend la cyberviolence dans les relations intimes des jeunes? Qui sont les ados qui commettent ces violences et pourquoi? Comment aider les jeunes qui en sont victimes? Et surtout, comment outiller les ados afin qu’iels bâtissent la confiance dans leurs relations intimes sans tomber dans le piège du contrôle et de la cyberviolence?
C’est ce que vient expliquer Tania St-Laurent Boucher, sexologue au Centre de services scolaire de Saint-Hyacinthe.
Plongeon dans la cyberviolence dans les relations intimes, une forme de violence bien réelle qui créer une onde de choc dans la vie de presqu’un ado sur deux.
Tania St-Laurent Boucher est sexologue. Au cours des 15 dernières années, elle s’est rendue dans les écoles et le milieu communautaire du Québec pour donner de la formation et des ateliers aux jeunes et au personnel scolaire. Elle a formé des étudiants en médecine à l’Université de Sherbrooke et des intervenant.e.s en relation d’aide, en plus d’être consultante externe pour Tel-Jeunes, où elle a travaillé pendant plus de huit ans. Actuellement sexologue au Centre de services scolaire de Saint-Hyacinthe, elle est aussi appelée à collaborer à titre de consultante pour différents projets jeunesses, dont la websérie On parle de sexe, diffusée à Télé-Québec. Elle a collaboré à de nombreuses éditions des journées conférences sur les jeunes et la santé mentale des Conférences Connexion.
Tania St-Laurent Boucher est sexologue. Au cours des 15 dernières années, elle s’est rendue dans les écoles et le milieu communautaire du Québec pour donner de la formation et des ateliers aux jeunes et au personnel scolaire. Elle a formé des étudiants en médecine à l’Université de Sherbrooke et des intervenant.e.s en relation d’aide, en plus d’être consultante externe pour Tel-Jeunes, où elle a travaillé pendant plus de huit ans. Actuellement sexologue au Centre de services scolaire de Saint-Hyacinthe, elle est aussi appelée à collaborer à titre de consultante pour différents projets jeunesses, dont la websérie On parle de sexe, diffusée à Télé-Québec. Elle a collaboré à de nombreuses éditions des journées conférences sur les jeunes et la santé mentale des Conférences Connexion.
9h35 - 9h45
Pause (10 min)
Pause (10 min)
9h45 - 10h45
Un message à la fois
Yves Hudon
Hugo Lambert
UNIMANI
Unimani est un modèle d’intervention précurseur et grandement nécessaire dans un monde où l’estime de soi fait cruellement défaut à beaucoup de jeunes.
L’idée est simple: jumeler un élève à cinq ou six personnes de son réseau, des supporteurs, qui lui envoient des messages d’encouragement et de soutien par l’entremise d’une plateforme Internet. Enseignants, grands-parents, oncles, tantes… tous ont le pouvoir de devenir des catalyseurs de confiance en soi pour les jeunes.
La démarche est efficace. Chaque bon coup souligné marque un pas vers la réussite et encourage la persévérance scolaire. Et elle a un impact positif direct sur l’estime de soi des jeunes, leur sentiment de compétence, leur motivation scolaire, leur santé mentale et leur résilience face aux épreuves de la vie. Ce n’est pas rien.
Comment un outil d’intervention aussi simple peut-il avoir autant d’impacts positifs sur les jeunes?
C’est ce que viennent expliquer Yves Hudon et Hugo Lambert. Le premier est psychoéducateur à l’École secondaire des Grandes-Marées, au Centre des services scolaire des Rives-du-Saguenay et l’instigateur du projet. Le second est intervenant psychosocial de formation et coordonnateur du projet.
Ensemble, ils expliquent.
– Yves Hudon, psychoéducateur.
Yves Hudon est psychoéducateur au Centre de services scolaire des Rives-du-Saguenay et l’instigateur du projet UNIMANI. Au cours de sa carrière, il a développé plusieurs projets multidisciplinaires en collaboration avec les milieux communautaire, familial et social. Après 30 années passées dans le milieu scolaire, il reste convaincu que chaque école possède une expertise unique, que chaque communauté regorge de personnes ressources compétentes et que chaque famille peut jouer un rôle préventif et curatif auprès des enfants. C’est d’ailleurs l’idée derrière UNIMANI. Yves Hudon a reçu la médaille de l’Assemblée nationale pour l’ensemble de son œuvre auprès des jeunes.
Yves Hudon est psychoéducateur au Centre de services scolaire des Rives-du-Saguenay et l’instigateur du projet UNIMANI. Au cours de sa carrière, il a développé plusieurs projets multidisciplinaires en collaboration avec les milieux communautaire, familial et social. Après 30 années passées dans le milieu scolaire, il reste convaincu que chaque école possède une expertise unique, que chaque communauté regorge de personnes ressources compétentes et que chaque famille peut jouer un rôle préventif et curatif auprès des enfants. C’est d’ailleurs l’idée derrière UNIMANI. Yves Hudon a reçu la médaille de l’Assemblée nationale pour l’ensemble de son œuvre auprès des jeunes.
Hugo Lambert est intervenant psychosocial de formation et coordonnateur du projet UNIMANI. Au cours des vingt dernières années, il a accompagné des centaines d’enfants et d’adolescents, notamment au sein du Regroupement des Équipes Intervention Jeunesse du Québec (RÉIJQ), ou encore au CIUSSS du Saguenay Lac-St-Jean, ou il a été coordonnateur des équipes d’intervention jeunesse. Il est derrière des projets qui relèvent de la santé et des services sociaux au Saguenay et à Montréal, comme Familio, un concept clinique multidisciplinaire qui fait notamment converger les services d’aide vers les enfants et leur famille. Il est d’ailleurs l’instigateur du concept interdisciplinaire des trois premières cliniques.
Hugo Lambert est intervenant psychosocial de formation et coordonnateur du projet UNIMANI. Au cours des vingt dernières années, il a accompagné des centaines d’enfants et d’adolescents, notamment au sein du Regroupement des Équipes Intervention Jeunesse du Québec (RÉIJQ), ou encore au CIUSSS du Saguenay Lac-St-Jean, ou il a été coordonnateur des équipes d’intervention jeunesse. Il est derrière des projets qui relèvent de la santé et des services sociaux au Saguenay et à Montréal, comme Familio, un concept clinique multidisciplinaire qui fait notamment converger les services d’aide vers les enfants et leur famille. Il est d’ailleurs l’instigateur du concept interdisciplinaire des trois premières cliniques.
UNIMANI a vu le jour en 2019 à l’École secondaire des Grandes-Marées de La Baie, avec l’appui du Centre des services scolaire des Rives-du-Saguenay. La première phase du projet montre que ce dernier porte notamment une attention particulière aux jeunes qui n’ont pas ou peu de support, qu’il renforce les liens familiaux en mettant de l’avant les actions positives faites par le jeune, qu’il valorise le travail des intervenants, qu’il motive l’ensemble des acteurs du projet et … qu’il créer du bonheur! UNIMANI a bénéficié du soutien du Conseil régional de prévention de l'abandon scolaire (CRÉPAS), du Centre d’étude des conditions de vie et des besoins de la population (ÉCOBES), du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Saguenay-Lac-Saint-Jean, ainsi que du gouvernement provincial.
UNIMANI a vu le jour en 2019 à l’École secondaire des Grandes-Marées de La Baie, avec l’appui du Centre des services scolaire des Rives-du-Saguenay. La première phase du projet montre que ce dernier porte notamment une attention particulière aux jeunes qui n’ont pas ou peu de support, qu’il renforce les liens familiaux en mettant de l’avant les actions positives faites par le jeune, qu’il valorise le travail des intervenants, qu’il motive l’ensemble des acteurs du projet et … qu’il créer du bonheur! UNIMANI a bénéficié du soutien du Conseil régional de prévention de l'abandon scolaire (CRÉPAS), du Centre d’étude des conditions de vie et des besoins de la population (ÉCOBES), du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Saguenay-Lac-Saint-Jean, ainsi que du gouvernement provincial.
Un message à la fois
Unimani est un modèle d’intervention précurseur et grandement nécessaire dans un monde où l’estime de soi fait cruellement défaut à beaucoup de jeunes.
L’idée est simple: jumeler un élève à cinq ou six personnes de son réseau, des supporteurs, qui lui envoient des messages d’encouragement et de soutien par l’entremise d’une plateforme Internet. Enseignants, grands-parents, oncles, tantes… tous ont le pouvoir de devenir des catalyseurs de confiance en soi pour les jeunes.
La démarche est efficace. Chaque bon coup souligné marque un pas vers la réussite et encourage la persévérance scolaire. Et elle a un impact positif direct sur l’estime de soi des jeunes, leur sentiment de compétence, leur motivation scolaire, leur santé mentale et leur résilience face aux épreuves de la vie. Ce n’est pas rien.
Comment un outil d’intervention aussi simple peut-il avoir autant d’impacts positifs sur les jeunes?
C’est ce que viennent expliquer Yves Hudon et Hugo Lambert. Le premier est psychoéducateur à l’École secondaire des Grandes-Marées, au Centre des services scolaire des Rives-du-Saguenay et l’instigateur du projet. Le second est intervenant psychosocial de formation et coordonnateur du projet.
Ensemble, ils expliquent.
– Yves Hudon, psychoéducateur.
Yves Hudon est psychoéducateur au Centre de services scolaire des Rives-du-Saguenay et l’instigateur du projet UNIMANI. Au cours de sa carrière, il a développé plusieurs projets multidisciplinaires en collaboration avec les milieux communautaire, familial et social. Après 30 années passées dans le milieu scolaire, il reste convaincu que chaque école possède une expertise unique, que chaque communauté regorge de personnes ressources compétentes et que chaque famille peut jouer un rôle préventif et curatif auprès des enfants. C’est d’ailleurs l’idée derrière UNIMANI. Yves Hudon a reçu la médaille de l’Assemblée nationale pour l’ensemble de son œuvre auprès des jeunes.
Yves Hudon est psychoéducateur au Centre de services scolaire des Rives-du-Saguenay et l’instigateur du projet UNIMANI. Au cours de sa carrière, il a développé plusieurs projets multidisciplinaires en collaboration avec les milieux communautaire, familial et social. Après 30 années passées dans le milieu scolaire, il reste convaincu que chaque école possède une expertise unique, que chaque communauté regorge de personnes ressources compétentes et que chaque famille peut jouer un rôle préventif et curatif auprès des enfants. C’est d’ailleurs l’idée derrière UNIMANI. Yves Hudon a reçu la médaille de l’Assemblée nationale pour l’ensemble de son œuvre auprès des jeunes.
Hugo Lambert est intervenant psychosocial de formation et coordonnateur du projet UNIMANI. Au cours des vingt dernières années, il a accompagné des centaines d’enfants et d’adolescents, notamment au sein du Regroupement des Équipes Intervention Jeunesse du Québec (RÉIJQ), ou encore au CIUSSS du Saguenay Lac-St-Jean, ou il a été coordonnateur des équipes d’intervention jeunesse. Il est derrière des projets qui relèvent de la santé et des services sociaux au Saguenay et à Montréal, comme Familio, un concept clinique multidisciplinaire qui fait notamment converger les services d’aide vers les enfants et leur famille. Il est d’ailleurs l’instigateur du concept interdisciplinaire des trois premières cliniques.
Hugo Lambert est intervenant psychosocial de formation et coordonnateur du projet UNIMANI. Au cours des vingt dernières années, il a accompagné des centaines d’enfants et d’adolescents, notamment au sein du Regroupement des Équipes Intervention Jeunesse du Québec (RÉIJQ), ou encore au CIUSSS du Saguenay Lac-St-Jean, ou il a été coordonnateur des équipes d’intervention jeunesse. Il est derrière des projets qui relèvent de la santé et des services sociaux au Saguenay et à Montréal, comme Familio, un concept clinique multidisciplinaire qui fait notamment converger les services d’aide vers les enfants et leur famille. Il est d’ailleurs l’instigateur du concept interdisciplinaire des trois premières cliniques.
UNIMANI a vu le jour en 2019 à l’École secondaire des Grandes-Marées de La Baie, avec l’appui du Centre des services scolaire des Rives-du-Saguenay. La première phase du projet montre que ce dernier porte notamment une attention particulière aux jeunes qui n’ont pas ou peu de support, qu’il renforce les liens familiaux en mettant de l’avant les actions positives faites par le jeune, qu’il valorise le travail des intervenants, qu’il motive l’ensemble des acteurs du projet et … qu’il créer du bonheur! UNIMANI a bénéficié du soutien du Conseil régional de prévention de l'abandon scolaire (CRÉPAS), du Centre d’étude des conditions de vie et des besoins de la population (ÉCOBES), du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Saguenay-Lac-Saint-Jean, ainsi que du gouvernement provincial.
UNIMANI a vu le jour en 2019 à l’École secondaire des Grandes-Marées de La Baie, avec l’appui du Centre des services scolaire des Rives-du-Saguenay. La première phase du projet montre que ce dernier porte notamment une attention particulière aux jeunes qui n’ont pas ou peu de support, qu’il renforce les liens familiaux en mettant de l’avant les actions positives faites par le jeune, qu’il valorise le travail des intervenants, qu’il motive l’ensemble des acteurs du projet et … qu’il créer du bonheur! UNIMANI a bénéficié du soutien du Conseil régional de prévention de l'abandon scolaire (CRÉPAS), du Centre d’étude des conditions de vie et des besoins de la population (ÉCOBES), du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Saguenay-Lac-Saint-Jean, ainsi que du gouvernement provincial.
10h45 - 10h55
Pause (10 min)
Pause (10 min)
10h55 - 12h35
Troubles alimentaires version garçons
Marilou Ouellet
Antoine
Ils se manifestent d’une façon particulière. Les drapeaux rouges qui signalent que quelque chose ne va pas sont difficiles à détecter. Et ils passent sous le radar. Pourtant, les troubles alimentaires chez les gars sont bien réels. Ils entrainent une grande souffrance, et de la honte aussi, parce qu’associés aux filles.
Marilou Ouellet en sait quelque chose. Spécialiste passionnée des troubles de conduites alimentaires, elle intervient depuis huit ans auprès des personnes aux prises avec un TCA.
Comme Antoine, qu’elle a connu plus jeune quand il est venu consulter à l’organisme où elle travaillait.
Adoption d’un régime alimentaire. Entraînement excessif. 100 livres perdues en 6 mois. Puis, c’est le mur : l’étudiant sportif réalise qu’il souffre d’anorexie mentale.
Celui qui est maintenant un jeune prof cool de 6e année est l’un des rares à prendre la parole sur les troubles alimentaires chez les gars. Il raconte son histoire avec une admirable générosité, pour que nous puissions comprendre ce que vivent ces garçons, certes, mais aussi pour que ceux qui se débattent avec ce trouble ne passent plus sous le radar.
Pour l’occasion, le duo dynamique monte sur scène. Tour-à-tour, ils lèvent le voile sur les troubles alimentaires chez les garçons, une réalité méconnue et un sujet délicat pour les gars qui y sont confrontés.
Marilou Ouellet détient un doctorat en psychologie (Ph.D.). Elle a également complété un postdoctorat en psychologie au sein du Centre de recherche de l’Institut Paul Bocuse à Lyon en France. Depuis 12 ans, elle œuvre dans le domaine de la santé mentale, en plus d’avoir une expertise en troubles de conduites alimentaires. Elle œuvre actuellement comme consultante auprès des personnes présentant des troubles alimentaires et des professionnels de la santé. Passionnée par l’enseignement et l’accompagnement des jeunes, elle est également chargée de cours à l’Université Laval en plus d’être professeure de psychologie en milieu collégial. Ayant à cœur la prévention des troubles des conduites alimentaires, elle est active sur les réseaux sociaux, où elle a pour mission de contrer la désinformation en santé mentale et faire de l’éducation psychologique.
Marilou Ouellet détient un doctorat en psychologie (Ph.D.). Elle a également complété un postdoctorat en psychologie au sein du Centre de recherche de l’Institut Paul Bocuse à Lyon en France. Depuis 12 ans, elle œuvre dans le domaine de la santé mentale, en plus d’avoir une expertise en troubles de conduites alimentaires. Elle œuvre actuellement comme consultante auprès des personnes présentant des troubles alimentaires et des professionnels de la santé. Passionnée par l’enseignement et l’accompagnement des jeunes, elle est également chargée de cours à l’Université Laval en plus d’être professeure de psychologie en milieu collégial. Ayant à cœur la prévention des troubles des conduites alimentaires, elle est active sur les réseaux sociaux, où elle a pour mission de contrer la désinformation en santé mentale et faire de l’éducation psychologique.
Témoignage
Témoignage
Troubles alimentaires version garçons
Ils se manifestent d’une façon particulière. Les drapeaux rouges qui signalent que quelque chose ne va pas sont difficiles à détecter. Et ils passent sous le radar. Pourtant, les troubles alimentaires chez les gars sont bien réels. Ils entrainent une grande souffrance, et de la honte aussi, parce qu’associés aux filles.
Marilou Ouellet en sait quelque chose. Spécialiste passionnée des troubles de conduites alimentaires, elle intervient depuis huit ans auprès des personnes aux prises avec un TCA.
Comme Antoine, qu’elle a connu plus jeune quand il est venu consulter à l’organisme où elle travaillait.
Adoption d’un régime alimentaire. Entraînement excessif. 100 livres perdues en 6 mois. Puis, c’est le mur : l’étudiant sportif réalise qu’il souffre d’anorexie mentale.
Celui qui est maintenant un jeune prof cool de 6e année est l’un des rares à prendre la parole sur les troubles alimentaires chez les gars. Il raconte son histoire avec une admirable générosité, pour que nous puissions comprendre ce que vivent ces garçons, certes, mais aussi pour que ceux qui se débattent avec ce trouble ne passent plus sous le radar.
Pour l’occasion, le duo dynamique monte sur scène. Tour-à-tour, ils lèvent le voile sur les troubles alimentaires chez les garçons, une réalité méconnue et un sujet délicat pour les gars qui y sont confrontés.
Marilou Ouellet détient un doctorat en psychologie (Ph.D.). Elle a également complété un postdoctorat en psychologie au sein du Centre de recherche de l’Institut Paul Bocuse à Lyon en France. Depuis 12 ans, elle œuvre dans le domaine de la santé mentale, en plus d’avoir une expertise en troubles de conduites alimentaires. Elle œuvre actuellement comme consultante auprès des personnes présentant des troubles alimentaires et des professionnels de la santé. Passionnée par l’enseignement et l’accompagnement des jeunes, elle est également chargée de cours à l’Université Laval en plus d’être professeure de psychologie en milieu collégial. Ayant à cœur la prévention des troubles des conduites alimentaires, elle est active sur les réseaux sociaux, où elle a pour mission de contrer la désinformation en santé mentale et faire de l’éducation psychologique.
Marilou Ouellet détient un doctorat en psychologie (Ph.D.). Elle a également complété un postdoctorat en psychologie au sein du Centre de recherche de l’Institut Paul Bocuse à Lyon en France. Depuis 12 ans, elle œuvre dans le domaine de la santé mentale, en plus d’avoir une expertise en troubles de conduites alimentaires. Elle œuvre actuellement comme consultante auprès des personnes présentant des troubles alimentaires et des professionnels de la santé. Passionnée par l’enseignement et l’accompagnement des jeunes, elle est également chargée de cours à l’Université Laval en plus d’être professeure de psychologie en milieu collégial. Ayant à cœur la prévention des troubles des conduites alimentaires, elle est active sur les réseaux sociaux, où elle a pour mission de contrer la désinformation en santé mentale et faire de l’éducation psychologique.
Témoignage
Témoignage
12h35 - 13h30
Dîner (55 min)
Dîner (55 min)
13h30 - 14h45
Génération Z
Carol Allain
Ils ont entre 10 et 24 ans et ils forment la Génération Z.
Le Z, c’est pour Zapping. Mais on les désigne aussi sous le nom de Digital native, de Nouvelle génération silencieuse, de i génération (génération internet), de Génération C (connecter, communiquer, créer et collaborer) ou encore la Génération WTF (Wikipédia, Twitter, Facebook).
Nés avec le web actif, ils ont une approche multitâche naturelle et sont parfaitement décomplexés! Leur vie réelle est formatée presque exclusivement à partir de leur vie digitale. Ces jeunes vivent à une époque où l’on peut tout obtenir. Les Z sont créatifs. Incapables de tolérer l’idée d’une vie absurde, ils préconisent le sens, l’authenticité, l’éthique. Ils se démarquent par leurs talents qui se révèlent autour de la créativité, de l’inventivité et de la collaboration.
Quelles sont les valeurs et les aspirations profondes des jeunes de la Génération Z? Comment les aborder? Quels sont leurs plus grands défis et leurs principaux enjeux? Quelles sont les interventions à prioriser de manière à favoriser la responsabilité et valoriser le potentiel des Z?
C’est à toutes ces questions et à bien d’autres encore que répond Carol Allain, LE spécialiste des générations! Avec lui, on décode les caractéristiques de cette cohorte bien ancrée dans la culture de l’écran.
Petit détour aussi ludique qu’éclairant dans les particularités, les enjeux et les défis des jeunes de la Génération Z avec un expert passionné et prisé au Québec et à l’international.
Détenteur d’une maîtrise en éducation, ex-chargé de cours à l’Université d’Ottawa et à l’Université du Québec à Montréal et spécialiste des générations, Carol Allain, M. Sc., M. Éd., est un conférencier réputé et un formateur apprécié au Québec et en Europe. Il se distingue par son humour incisif et le regard unique qu’il porte sur ses contemporains, dont les jeunes. Il est entre autres l’auteur du livre Le choc des générations et de Génération Z, l’humanité numérique en marche.
Détenteur d’une maîtrise en éducation, ex-chargé de cours à l’Université d’Ottawa et à l’Université du Québec à Montréal et spécialiste des générations, Carol Allain, M. Sc., M. Éd., est un conférencier réputé et un formateur apprécié au Québec et en Europe. Il se distingue par son humour incisif et le regard unique qu’il porte sur ses contemporains, dont les jeunes. Il est entre autres l’auteur du livre Le choc des générations et de Génération Z, l’humanité numérique en marche.
Génération Z
Ils ont entre 10 et 24 ans et ils forment la Génération Z.
Le Z, c’est pour Zapping. Mais on les désigne aussi sous le nom de Digital native, de Nouvelle génération silencieuse, de i génération (génération internet), de Génération C (connecter, communiquer, créer et collaborer) ou encore la Génération WTF (Wikipédia, Twitter, Facebook).
Nés avec le web actif, ils ont une approche multitâche naturelle et sont parfaitement décomplexés! Leur vie réelle est formatée presque exclusivement à partir de leur vie digitale. Ces jeunes vivent à une époque où l’on peut tout obtenir. Les Z sont créatifs. Incapables de tolérer l’idée d’une vie absurde, ils préconisent le sens, l’authenticité, l’éthique. Ils se démarquent par leurs talents qui se révèlent autour de la créativité, de l’inventivité et de la collaboration.
Quelles sont les valeurs et les aspirations profondes des jeunes de la Génération Z? Comment les aborder? Quels sont leurs plus grands défis et leurs principaux enjeux? Quelles sont les interventions à prioriser de manière à favoriser la responsabilité et valoriser le potentiel des Z?
C’est à toutes ces questions et à bien d’autres encore que répond Carol Allain, LE spécialiste des générations! Avec lui, on décode les caractéristiques de cette cohorte bien ancrée dans la culture de l’écran.
Petit détour aussi ludique qu’éclairant dans les particularités, les enjeux et les défis des jeunes de la Génération Z avec un expert passionné et prisé au Québec et à l’international.
Détenteur d’une maîtrise en éducation, ex-chargé de cours à l’Université d’Ottawa et à l’Université du Québec à Montréal et spécialiste des générations, Carol Allain, M. Sc., M. Éd., est un conférencier réputé et un formateur apprécié au Québec et en Europe. Il se distingue par son humour incisif et le regard unique qu’il porte sur ses contemporains, dont les jeunes. Il est entre autres l’auteur du livre Le choc des générations et de Génération Z, l’humanité numérique en marche.
Détenteur d’une maîtrise en éducation, ex-chargé de cours à l’Université d’Ottawa et à l’Université du Québec à Montréal et spécialiste des générations, Carol Allain, M. Sc., M. Éd., est un conférencier réputé et un formateur apprécié au Québec et en Europe. Il se distingue par son humour incisif et le regard unique qu’il porte sur ses contemporains, dont les jeunes. Il est entre autres l’auteur du livre Le choc des générations et de Génération Z, l’humanité numérique en marche.
14h45 - 14h55
Pause (10 min)
Pause (10 min)
14h55 - 16h10
Dans les souliers d’Alicia
Alicia
Fondation Jeunes en Tête
Elle est jeune et incroyablement lumineuse, malgré le trouble d’anxiété généralisé qui l’habite; un trouble qui a commencé par de l’anxiété de performance.
«Imaginez la situation qui vous stresse le plus dans la vie. Moi, j’ai ce niveau de stress tout le temps. T’as de la misère à respirer et on dirait que t’es plus dans ton corps. Quand je faisais des crises, je voulais me cacher dans ma chambre pour que personne ne me voit, parce que j’avais honte».
À 15 ans, submergée par des idées noires, Alicia se retrouve à l’hôpital. Là-bas, elle commence un travail sur elle-même, apprend à apprivoiser et à gérer ses émotions.
«Si je pouvais retourner au moment où j’étais à l’hôpital, je pense que je me dirais là, respire par le nez, les gens sont là pour t’aider, fais-toi confiance. On peut accomplir tellement de choses quand on se fait confiance».
Le séjour est salutaire. Aujourd’hui, elle est éloquente et elle brille.
Le témoignage d’Alicia nous permet de faire des pas nécessaires dans les souliers des milliers d’enfants et d’ados qui se battent, comme elle, contre l’anxiété. Portrait intime de ce trouble devenu courant chez les jeunes, à travers le vécu de cette fille plus qu’inspirante.
En guise d’introduction au témoignage d’Alicia, la Fondation Jeunes en Tête partage brièvement les outils qu’ils proposent et qui permettent de déstigmatiser, sensibiliser et outiller les jeunes face aux défis de la vie, en ciblant tout particulièrement l’anxiété et la dépression. Leurs outils sont accessibles partout et ils sont disponibles en français et en anglais.
Témoignage
Témoignage
La Fondation Jeunes en Tête a pour mission de prévenir la détresse psychologique des jeunes de 11 à 18 ans au Québec. Ils accomplissent cette mission en offrant aux adolescents, à leurs parents, au personnel scolaire et aux intervenants des trousses en ligne et des ateliers de sensibilisation en santé mentale dans les écoles secondaires. Leurs services et leurs contenus sont bilingues et offerts gratuitement. Déstigmatiser, sensibiliser et outiller, voici les gestes concrets qu’ils posent chaque jour pour aider les prochaines générations à faire face aux défis de la vie. En 2019, la Fondation Jeunes en Tête a été le récipiendaire du prix Méritas organisation de l'année par l'Association québécoise de la prévention du suicide (AQPS), pour son rôle déterminant dans ce domaine.
La Fondation Jeunes en Tête a pour mission de prévenir la détresse psychologique des jeunes de 11 à 18 ans au Québec. Ils accomplissent cette mission en offrant aux adolescents, à leurs parents, au personnel scolaire et aux intervenants des trousses en ligne et des ateliers de sensibilisation en santé mentale dans les écoles secondaires. Leurs services et leurs contenus sont bilingues et offerts gratuitement. Déstigmatiser, sensibiliser et outiller, voici les gestes concrets qu’ils posent chaque jour pour aider les prochaines générations à faire face aux défis de la vie. En 2019, la Fondation Jeunes en Tête a été le récipiendaire du prix Méritas organisation de l'année par l'Association québécoise de la prévention du suicide (AQPS), pour son rôle déterminant dans ce domaine.
Dans les souliers d’Alicia
Elle est jeune et incroyablement lumineuse, malgré le trouble d’anxiété généralisé qui l’habite; un trouble qui a commencé par de l’anxiété de performance.
«Imaginez la situation qui vous stresse le plus dans la vie. Moi, j’ai ce niveau de stress tout le temps. T’as de la misère à respirer et on dirait que t’es plus dans ton corps. Quand je faisais des crises, je voulais me cacher dans ma chambre pour que personne ne me voit, parce que j’avais honte».
À 15 ans, submergée par des idées noires, Alicia se retrouve à l’hôpital. Là-bas, elle commence un travail sur elle-même, apprend à apprivoiser et à gérer ses émotions.
«Si je pouvais retourner au moment où j’étais à l’hôpital, je pense que je me dirais là, respire par le nez, les gens sont là pour t’aider, fais-toi confiance. On peut accomplir tellement de choses quand on se fait confiance».
Le séjour est salutaire. Aujourd’hui, elle est éloquente et elle brille.
Le témoignage d’Alicia nous permet de faire des pas nécessaires dans les souliers des milliers d’enfants et d’ados qui se battent, comme elle, contre l’anxiété. Portrait intime de ce trouble devenu courant chez les jeunes, à travers le vécu de cette fille plus qu’inspirante.
En guise d’introduction au témoignage d’Alicia, la Fondation Jeunes en Tête partage brièvement les outils qu’ils proposent et qui permettent de déstigmatiser, sensibiliser et outiller les jeunes face aux défis de la vie, en ciblant tout particulièrement l’anxiété et la dépression. Leurs outils sont accessibles partout et ils sont disponibles en français et en anglais.
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La Fondation Jeunes en Tête a pour mission de prévenir la détresse psychologique des jeunes de 11 à 18 ans au Québec. Ils accomplissent cette mission en offrant aux adolescents, à leurs parents, au personnel scolaire et aux intervenants des trousses en ligne et des ateliers de sensibilisation en santé mentale dans les écoles secondaires. Leurs services et leurs contenus sont bilingues et offerts gratuitement. Déstigmatiser, sensibiliser et outiller, voici les gestes concrets qu’ils posent chaque jour pour aider les prochaines générations à faire face aux défis de la vie. En 2019, la Fondation Jeunes en Tête a été le récipiendaire du prix Méritas organisation de l'année par l'Association québécoise de la prévention du suicide (AQPS), pour son rôle déterminant dans ce domaine.
La Fondation Jeunes en Tête a pour mission de prévenir la détresse psychologique des jeunes de 11 à 18 ans au Québec. Ils accomplissent cette mission en offrant aux adolescents, à leurs parents, au personnel scolaire et aux intervenants des trousses en ligne et des ateliers de sensibilisation en santé mentale dans les écoles secondaires. Leurs services et leurs contenus sont bilingues et offerts gratuitement. Déstigmatiser, sensibiliser et outiller, voici les gestes concrets qu’ils posent chaque jour pour aider les prochaines générations à faire face aux défis de la vie. En 2019, la Fondation Jeunes en Tête a été le récipiendaire du prix Méritas organisation de l'année par l'Association québécoise de la prévention du suicide (AQPS), pour son rôle déterminant dans ce domaine.
16h10
Fin de la journée
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Foire aux questions
FAQ
Dois-je être présent au direct pour avoir accès au différé?
Vais-je recevoir mon propre lien si je m'inscris en groupe?
Oui. Les inscriptions de groupe comportent les mêmes privilèges que les inscriptions individuelles; chaque participant recevra un courriel avec un lien Zoom personnalisé pour le visionnement en direct et un profil sera créé pour lui sur le site de Conférences Connexion après l’événement afin d’accéder au visionnement en différé.
Est-ce qu'une attestation de participation est fournie?
- Une attestation de participation sera remise:
- aux participants qui auront assisté à l’événement en direct sur Zoom (a. Pour une journée régulière, une présence d’une durée minimum de 5 heures est demandée / b. Pour une mini journée, une présence pour la durée complète de l’événement est demandée) ou
- aux personnes qui auront regardé l’ensemble des vidéos disponibles sur la plateforme de visionnement en différé
Consultez la section Formation continue pour connaître le nombre d’heures reconnues.
J'ai un empêchement. Puis-je annuler mon inscription?
Les changements de participants et les demandes d’annulation sont acceptés. Toutefois, pour laisser la chance à tout le monde de profiter de nos journées conférences, aucun remboursement ne sera accordé pour les annulations reçues à moins de 10 jours de la date de l’événement.
Tarifs et
inscription
Tarifs et inscription
Grille tarifaire et rabais de groupe
Tarif régulier
Ex: milieu scolaire, services de police, CISSS/CIUSSS, etc.
Tarif organismes communautaires / étudiants
Ex: OSBL/OBNL, maisons des jeunes, cje, CALACS, CAVACS, etc.)
Politique d'annulation
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