
Funambules
Disponible en différé pendant un an.
La journée en un coup d'oeil
Funambules?
Ils titubent. Ils chancellent. Il arrive même qu’ils perdent pied et tombent.
Mais nous sommes persuadés que les jeunes peuvent apprendre à marcher en équilibre sur le fil de leur vie. Et devenir de fabuleux funambules.
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témoignage éclairant
Des expertises pour mieux comprendre.
Des outils et des ressources pour mieux intervenir.
Formation continue
Ordre des psychologues du Québec
Activité de formation continue en psychothérapie reconnue par l’Ordre des psychologues du Québec pour une durée de 6.25 heures. Reconnaissance OPQ: RE04165-21.
Barreau du Québec
Formation dont l’admissibilité a été confirmée par le Barreau du Québec aux fins de la formation continue obligatoire, pour une durée de 6h25.
Ordre professionnel des criminologues du Québec
Formation dont l’admissibilité a été confirmée par l’Ordre professionnel des criminologues du Québec aux fins de la formation continue obligatoire, pour une durée de 6h25.
Nos experts

Andrée-Ann Labranche
Intervenante sociale et candidate
au doctorat en psychologie, UQAM

Équipe du programme HORS-PISTE

Mykaell Blais
Coordonnateur des services de formation,
GRIS-Québec

Élira-Néon St-Onge
Témoignage

Marie-Michèle Ricard
Psychoéducatrice,
psychothérapeute

Serge Goyette
Adjoint à la direction,
École Arménienne Sourp Hagop
Programmation
L’année 2020-2021 a été marquée par une hausse importante des dévoilements chez les jeunes de la communauté LGBTQ+.
Leur geste est profondément inspirant. Et souvent vital.
Et notre rôle auprès de ces jeunes, lui? Il est crucial.
À preuve, selon certaines études, le risque de suicide des jeunes trans, non-binaires et non-conformes de genre chuterait de 96% lorsque des adultes significatif.ve.s les accompagnent.
C’est énorme, surtout quand on sait que beaucoup d’entre eux peuvent vivre avec une détresse et un stress chronique plus élevés que la moyenne.
Alors, comment accompagner adéquatement tous ces ados, en particulier ceux de la pluralité de genre?
C’est ce que nous verrons ensemble avec Mykaell Blais, coordonnateur des services de formation chez GRIS-Québec et lui-même personne transmasculine.
Immersion dans le vécu des jeunes de la diversité de genres, explication du cadre légal actuel et proposition de stratégies pour devenir les allié.e.s de ces jeunes en quête d’authenticité.
Mykaell Blais, B. Éd., est coordonnateur des services de formation pour l’organisme GRIS-Québec. Ex-enseignant, il détient un baccalauréat en enseignement en adaptation scolaire. Mykaell a donné plusieurs formations sur la diversité sexuelle et de genre, dont à l’INSPQ, la Fondation Émergence, la Chaire de recherche DSPG de l’UQAM et bien d’autres organismes encore. Son approche est basée sur des savoirs scientifiques, sa connaissance de la réalité des jeunes dans les écoles, mais aussi sur son propre vécu, qu’il n’hésite pas à partager pour nous faire mieux comprendre la réalité des jeunes de la pluralité de genre.
GRIS-Québec est un organisme communautaire sans but lucratif qui fait de la sensibilisation sur l’orientation sexuelle et l’identité dans le milieu scolaire, communautaire et professionnel. Il offre aux jeunes de la diversité sexuelle et de genre, au genre créatif ou en questionnement ainsi qu’aux jeunes allié.e.s, un milieu de vie neutre et sécuritaire. L’organisme soutient les personnes et les organisations dans l’inclusion de la diversité sexuelle et de genre, par la formation et l’accompagnement.
Puis, il y a Élira.
Elle a 19 ans, elle est transgenre et en deuil. Car il y a moins d’un an, elle a perdu sa sœur Jasmine, elle aussi transgenre.
«Je ne connais aucune personne trans dans mon entourage qui n’a pas eu d’idées suicidaires. Moi comprise. Ma sœur a eu plus de difficultés à s’assumer. C’est venu comme une surprise dans l’entourage, alors que moi, à 4 ans, j’avais demandé une baguette magique à Noël pour pouvoir me transformer en fille», dit-elle avec une pointe d’humour.
Les transitions ne sont faciles pour personne et elles sont toutes différentes. «Tu penses ne jamais être capable d’arriver jusqu’au bout», confie-t-elle.
Or, du haut de ses 19 ans, Élira est farouchement résiliente et optimiste. «J’essaie d’être positive. À la fin de la journée, je suis belle».
Elle raconte.
On les dit avec la meilleure intention du monde. Et on peut les lire partout. Impossible d’aller sur Instagram ou Facebook sans tomber sur elles, ces petites phrases motivantes du genre «il suffit de voir le bon côté des choses» ou encore «sois positif»…
La «positivité toxique» est d’ailleurs amplifiée en ces temps de pandémie. Le fameux «ça va bien aller» en est le plus bel exemple.
La positivité toxique? Ça existe?
Oui.
Le phénomène est omniprésent et bien réel. Et son impact sur la santé mentale, dont celle des jeunes, l’est tout autant.
Petit détour dans un phénomène méconnu qui se glisse parfois au cœur de nos interactions, avec Andrée-Ann Labranche, intervenante sociale et candidate au doctorat en psychologie.
Andrée-Ann Labranche, B.Ps., a travaillé plusieurs années comme intervenante sociale dans le milieu communautaire. Étudiante au doctorat en psychologie à l’UQAM, elle s’intéresse particulièrement aux symptômes intériorisés (symptômes dépressifs et anxieux, retrait social) et extériorisés (comportements délinquants, violents, d’opposition/défense, perturbateurs et impulsifs). Elle estime important de s’attarder aux conséquences néfastes de «l’invalidation émotionnelle» et de comprendre pourquoi il faut vivre ses émotions négatives.
4 ans: c’est l’âge auquel certains enfants commencent à manifester des signes d’insatisfaction face à l’image que leur renvoie le miroir.
C’est tôt? Absolument.
Puis, est venue la pandémie.
Avec des habitudes physiques et alimentaires chamboulées, les vidéos constantes et un retour prochain dans un monde où le quotidien se vivra face-à-face, les préoccupations corporelles des jeunes se sont encore exacerbées.
Comment accueillir l’insécurité des enfants et des ados face à l’image corporelle? Comment se manifeste-t-elle actuellement? Et surtout, comment la dédramatiser pour ne pas nourrir cette anxiété liée au corps et à l’image, déjà très présente?
Marie-Michèle Ricard est psychoéducatrice et psychothérapeute spécialisée entre autres dans les problèmes liés à l’image.
C’est avec grand plaisir qu’elle a accepté de partager avec vous des outils et des stratégies d’intervention aidantes pour apaiser l’anxiété de tous ces jeunes aux prises avec des doutes, des peurs et des préoccupations face à leur image corporelle.
Marie-Michèle Ricard, M.Sc., est psychoéducatrice, psychothérapeute et professeure au département de psychologie du Cégep de l’Outaouais. Elle œuvre dans le domaine de la santé mentale depuis plus de vingt ans. Elle a cofondé Imavi, la première clinique multidisciplinaire en Outaouais spécialisée dans les problématiques liées au poids, à l’image et à l’alimentation. Au fil des années, Marie-Michèle a acquis une solide expertise dans le développement d’une image corporelle saine et positive, ainsi que sur la prévention de la stigmatisation face au poids, autant chez les jeunes que chez les adultes. Elle est également l’auteure de plusieurs livres sur le sujet, dont certains sont destinés aux jeunes et aux intervenants.
Une année et demie de pandémie. 13 féminicides au Québec.
La violence au masculin a fait couler beaucoup d’encre dans les derniers mois. Plus encore, elle entraîne une tristesse indicible et soulève une tonne de questions.
Une en particulier revient sans cesse : comment la prévenir?
Lors de son dernier passage, l’ex-directeur d’école Serge Goyette levait le voile sur les codes qu’utilisent les gars pour communiquer leurs émotions.
Aujourd’hui il revient sur scène, avec une question: comment peut-on amener les garçons à explorer et maîtriser leur humanité, incluant la détresse qui se trouve au cœur de leur violence?
Encore une fois, c’est avec un humanisme désarmant que Serge Goyette nous guide dans la façon d’y arriver.
Et la caverne, dans tout ça? Ah! On laisse le soin à Serge de vous l’expliquer.
Serge Goyette a occupé le poste de directeur d’école pendant 29 ans, dont plusieurs années au Collège du Mont-Sainte-Anne, un pensionnat pour garçons. Ses techniques et ses leçons d’intervention auprès des gars sont tirées de 35 ans d’expérience et de vécu dans le milieu scolaire. Serge a également participé au documentaire « Un gars, c’est un gars! » de Simon Goulet. Il est maintenant adjoint à la direction à l’École Arménienne Sourp Hagop, à Montréal.
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