Journée conférence sur les jeunes et la santé mentale
Journée conférence sur les jeunes et la santé mentale

La journée
en un coup d'oeil

La journée
en un coup d'oeil

Incursion dans le phénomène actuel des ados qui désertent l'école et pistes de solution pour les accompagner positivement

Aider les jeunes à naviguer dans l'univers complexe du consentement sexuel avec plus de clarté et de confiance

Proposition d'une approche aidante pour aborder la détresse des jeunes et stratégies pour qu'ils s'ouvrent en toute confiance

Actions concrètes et inspirantes pour favoriser l’antitoxicité chez les garçons

Persévérer malgré l’adversité: les leçons admirables d’un garçon de la DPJ

Détour éclairant dans le pouvoir méconnu des petits gestes de civilité et leur impact surprenant sur la violence

Des outils et des ressources
pour mieux intervenir
Des expertises
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Témoignage éclairant

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Témoignage éclairant

Doppelgänger?

Doppelgänger?

Le Doppelganger veut notamment dire «double marcheur» en allemand. Ce double peut représenter la dualité entre la part sombre d’une personne et sa part lumineuse.

Pour nous, il est le marcheur lumineux qui fait la route aux côtés des jeunes et qui les fait briller. Ce double marcheur, c’est vous.

Nos experts

Nos experts

Laurence Desjardins

Sexologue et animatrice en éducation à la sexualité

Michel Dorais

Sociologue de la sexualité, professeur titulaire retraité à l’École de travail social et de criminologie de l’Université Laval

Denis Jeffrey

Professeur titulaire à la Faculté des sciences de l'éducation à l'Université Laval et spécialiste des rites sociaux

Caroline Levasseur

Enseignante au Centre de services scolaire des Premières-Seigneuries

Samuel Coulombe

Témoignage

Fondation Jeunes en Tête

Formation continue

Formation
continue

Accréditation

Activité de formation continue en psychothérapie reconnue par l’Ordre des psychologues du Québec pour 6h45. No de reconnaissance OPQ RE05576-23.

Formation dont l’admissibilité a été confirmée par l’Ordre professionnel des criminologues du Québec aux fins de la formation continue obligatoire, pour une durée de 6 heures et 45 minutes.

Formation dont l’admissibilité a été confirmée par le Barreau du Québec aux fins de la formation continue obligatoire, pour une durée de 6.75 heures.

Attestation

Pour obtenir une attestation pour votre participation à la journée en direct, vous devrez avoir assisté à l’événement pendant un minimum de 5 heures non consécutives.

Celle-ci sera envoyée par courriel quelques jours après l’événement. Vous aurez également la possibilité de recevoir une attestation de participation pour le visionnement en différé, une fois celui-ci complété.

Le saviez-vous?

D’autres ordres professionnels, comme l’OTSTCFQ et l’OPPQ pourraient également être en mesure de reconnaître vos heures de formation.

Veuillez consulter leur règlement respectif sur la formation continue pour obtenir davantage d’information à ce sujet. :-)

pour tous ceux qui travaillent avec les jeunes

Pour tous ceux qui travaillent avec les jeunes

Les Conférences Connexion organisent, depuis plus de 15 ans, des journées conférences sur les jeunes et la santé mentale qui plongent les participants au cœur des réalités affectant la vie des jeunes, à travers des présentations d’experts de tous les domaines.

Des milliers de professionnels et d’intervenants y assistent fidèlement chaque année.

Programmation

Programmation

Doppelgänger
Doppelgänger
Journée conférence sur les jeunes et la santé mentale

8h05 - 8h15

Mot de bienvenue

8h05 - 8h15

Mot de bienvenue

8h15 - 9h30

Consentement et culture populaire: décoder le message confus chez les jeunes

Laurence Desjardins

Sexologue et animatrice en éducation à la sexualité

Au moins la moitié des Canadiens ne comprennent pas pleinement la notion du consentement dans les activités sexuelles.* Imaginez un peu ce qu’il en est chez les jeunes!

Ils sont confus et c’est normal.

Pourquoi? Parce que la notion du consentement sexuel est complexe et qu’elle est en constante évolution sur le plan légal et social.

Mais aussi, parce que la culture populaire comme les comédies romantiques ou des séries comme La maison du dragon, 13 raisons ou Riverdale, par exemple, brouillent les cartes. Ces séries populaires leur renvoient un message sur le consentement sexuel qui tombe dans des zones grises, quand ils ne sont pas carrément en contradiction avec ce qu’on tente de leur inculquer actuellement.

Comment aider les jeunes à naviguer dans cet univers complexe avec plus de clarté et de confiance?

C’est ce que vient nous dire Laurence Desjardins, sexologue engagée auprès des jeunes dans le milieu scolaire en autres.

Partage d’outils et d’exemples concrets pour aider les jeunes à comprendre la notion de consentement et son application, peur importe leur orientation sexuelle ou leur identité de genre.

 

*Étude menée par la Fondation canadienne des femmes.

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Laurence Desjardins est sexologue en relation d’aide et membre de l’Ordre professionnel des sexologues du Québec (OPQ). Elle s’investit notamment dans le dossier de l’éducation à la sexualité en milieu scolaire comme sexologue et comme coordonnatrice des services du collectif chez On SEXplique ça, un collectif de sexologues qui répond à la demande d'ateliers d'éducation à la sexualité en milieu scolaire pour les jeunes et les parents, et de formations pour les enseignants et personnels scolaires dans le cadre de l'intégration du programme d'éducation à la sexualité. Elle œuvre également chez Interligne comme coordonnatrice des programmes portant sur les violences et collabore au projet ARCS de REZO. En plus de sa formation de sexologue, elle détient un certificat en Toxicomanies: Prévention et intervention à l’Université de Montréal et a complété une formation sur le Trouble du Stress Post-traumatique à l’Université McGill. Son implication dans la promotion d’une sexualité saine, positive et inclusive est constante.

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Laurence Desjardins est sexologue en relation d’aide et membre de l’Ordre professionnel des sexologues du Québec (OPQ). Elle s’investit notamment dans le dossier de l’éducation à la sexualité en milieu scolaire comme sexologue et comme coordonnatrice des services du collectif chez On SEXplique ça, un collectif de sexologues qui répond à la demande d'ateliers d'éducation à la sexualité en milieu scolaire pour les jeunes et les parents, et de formations pour les enseignants et personnels scolaires dans le cadre de l'intégration du programme d'éducation à la sexualité. Elle œuvre également chez Interligne comme coordonnatrice des programmes portant sur les violences et collabore au projet ARCS de REZO. En plus de sa formation de sexologue, elle détient un certificat en Toxicomanies: Prévention et intervention à l’Université de Montréal et a complété une formation sur le Trouble du Stress Post-traumatique à l’Université McGill. Son implication dans la promotion d’une sexualité saine, positive et inclusive est constante.

8h15 - 9h30

Consentement et culture populaire: décoder le message confus chez les jeunes

Au moins la moitié des Canadiens ne comprennent pas pleinement la notion du consentement dans les activités sexuelles.* Imaginez un peu ce qu’il en est chez les jeunes!

Ils sont confus et c’est normal.

Pourquoi? Parce que la notion du consentement sexuel est complexe et qu’elle est en constante évolution sur le plan légal et social.

Mais aussi, parce que la culture populaire comme les comédies romantiques ou des séries comme La maison du dragon, 13 raisons ou Riverdale, par exemple, brouillent les cartes. Ces séries populaires leur renvoient un message sur le consentement sexuel qui tombe dans des zones grises, quand ils ne sont pas carrément en contradiction avec ce qu’on tente de leur inculquer actuellement.

Comment aider les jeunes à naviguer dans cet univers complexe avec plus de clarté et de confiance?

C’est ce que vient nous dire Laurence Desjardins, sexologue engagée auprès des jeunes dans le milieu scolaire en autres.

Partage d’outils et d’exemples concrets pour aider les jeunes à comprendre la notion de consentement et son application, peur importe leur orientation sexuelle ou leur identité de genre.

 

*Étude menée par la Fondation canadienne des femmes.

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Laurence Desjardins est sexologue en relation d’aide et membre de l’Ordre professionnel des sexologues du Québec (OPQ). Elle s’investit notamment dans le dossier de l’éducation à la sexualité en milieu scolaire comme sexologue et comme coordonnatrice des services du collectif chez On SEXplique ça, un collectif de sexologues qui répond à la demande d'ateliers d'éducation à la sexualité en milieu scolaire pour les jeunes et les parents, et de formations pour les enseignants et personnels scolaires dans le cadre de l'intégration du programme d'éducation à la sexualité. Elle œuvre également chez Interligne comme coordonnatrice des programmes portant sur les violences et collabore au projet ARCS de REZO. En plus de sa formation de sexologue, elle détient un certificat en Toxicomanies: Prévention et intervention à l’Université de Montréal et a complété une formation sur le Trouble du Stress Post-traumatique à l’Université McGill. Son implication dans la promotion d’une sexualité saine, positive et inclusive est constante.

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Laurence Desjardins est sexologue en relation d’aide et membre de l’Ordre professionnel des sexologues du Québec (OPQ). Elle s’investit notamment dans le dossier de l’éducation à la sexualité en milieu scolaire comme sexologue et comme coordonnatrice des services du collectif chez On SEXplique ça, un collectif de sexologues qui répond à la demande d'ateliers d'éducation à la sexualité en milieu scolaire pour les jeunes et les parents, et de formations pour les enseignants et personnels scolaires dans le cadre de l'intégration du programme d'éducation à la sexualité. Elle œuvre également chez Interligne comme coordonnatrice des programmes portant sur les violences et collabore au projet ARCS de REZO. En plus de sa formation de sexologue, elle détient un certificat en Toxicomanies: Prévention et intervention à l’Université de Montréal et a complété une formation sur le Trouble du Stress Post-traumatique à l’Université McGill. Son implication dans la promotion d’une sexualité saine, positive et inclusive est constante.

9h40 - 10h55

Les tabous en moins, des vies en plus

Fondation Jeunes en Tête

Selon la Fondation Jeunes en Tête, 70% des jeunes qui souffrent de dépression ne le disent pas, par peur d’être jugés ou rejetés. Ils souffrent en silence.

Comment parler de la détresse avec les jeunes?

Les animateurs de la Fondation Jeunes en Tête ont visité 1,3 million de jeunes dans les écoles du Québec au cours des 25 dernières années. Suite à leur passage, plus de 20 000 d’entre eux ont choisi d’aller chercher de l’aide.

Grâce à leur approche, les tabous et les barrières tombent et, ultimement, des vies sont sauvées.

Comment offrir aux jeunes un environnement accueillant et positif pour parler de leur détresse? Quoi faire pour qu’ils s’ouvrent en toute confiance et en toute sécurité? Et comment peut-on les accompagner et les sensibiliser à aller chercher de l’aide, avant qu’un geste fatal soit commis?

Les experts terrain de la Fondation Jeunes en Tête répondent et expliquent.

Plongeon au cœur des façons aidantes d’aborder la détresse chez les jeunes, stratégies pour qu’ils s’ouvrent en toute confiance et partage d’une approche bienveillante qui porte fruit auprès d’eux.

Author picture

La Fondation Jeunes en Tête a pour mission de prévenir la détresse psychologique des jeunes de 11 à 18 ans au Québec. Ils accomplissent cette mission en offrant aux adolescents, à leurs parents, au personnel scolaire et aux intervenants des trousses en ligne et des ateliers de sensibilisation en santé mentale dans les écoles secondaires. Leurs services et leurs contenus sont bilingues et offerts gratuitement. Déstigmatiser, sensibiliser et outiller, voici les gestes concrets qu’ils posent chaque jour pour aider les prochaines générations à faire face aux défis de la vie. En 2019, la Fondation Jeunes en Tête a été le récipiendaire du prix Méritas organisation de l'année par l'Association québécoise de la prévention du suicide (AQPS), pour son rôle déterminant dans ce domaine.

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La Fondation Jeunes en Tête a pour mission de prévenir la détresse psychologique des jeunes de 11 à 18 ans au Québec. Ils accomplissent cette mission en offrant aux adolescents, à leurs parents, au personnel scolaire et aux intervenants des trousses en ligne et des ateliers de sensibilisation en santé mentale dans les écoles secondaires. Leurs services et leurs contenus sont bilingues et offerts gratuitement. Déstigmatiser, sensibiliser et outiller, voici les gestes concrets qu’ils posent chaque jour pour aider les prochaines générations à faire face aux défis de la vie. En 2019, la Fondation Jeunes en Tête a été le récipiendaire du prix Méritas organisation de l'année par l'Association québécoise de la prévention du suicide (AQPS), pour son rôle déterminant dans ce domaine.

9h40 - 10h55

Les tabous en moins, des vies en plus

Selon la Fondation Jeunes en Tête, 70% des jeunes qui souffrent de dépression ne le disent pas, par peur d’être jugés ou rejetés. Ils souffrent en silence.

Comment parler de la détresse avec les jeunes?

Les animateurs de la Fondation Jeunes en Tête ont visité 1,3 million de jeunes dans les écoles du Québec au cours des 25 dernières années. Suite à leur passage, plus de 20 000 d’entre eux ont choisi d’aller chercher de l’aide.

Grâce à leur approche, les tabous et les barrières tombent et, ultimement, des vies sont sauvées.

Comment offrir aux jeunes un environnement accueillant et positif pour parler de leur détresse? Quoi faire pour qu’ils s’ouvrent en toute confiance et en toute sécurité? Et comment peut-on les accompagner et les sensibiliser à aller chercher de l’aide, avant qu’un geste fatal soit commis?

Les experts terrain de la Fondation Jeunes en Tête répondent et expliquent.

Plongeon au cœur des façons aidantes d’aborder la détresse chez les jeunes, stratégies pour qu’ils s’ouvrent en toute confiance et partage d’une approche bienveillante qui porte fruit auprès d’eux.

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La Fondation Jeunes en Tête a pour mission de prévenir la détresse psychologique des jeunes de 11 à 18 ans au Québec. Ils accomplissent cette mission en offrant aux adolescents, à leurs parents, au personnel scolaire et aux intervenants des trousses en ligne et des ateliers de sensibilisation en santé mentale dans les écoles secondaires. Leurs services et leurs contenus sont bilingues et offerts gratuitement. Déstigmatiser, sensibiliser et outiller, voici les gestes concrets qu’ils posent chaque jour pour aider les prochaines générations à faire face aux défis de la vie. En 2019, la Fondation Jeunes en Tête a été le récipiendaire du prix Méritas organisation de l'année par l'Association québécoise de la prévention du suicide (AQPS), pour son rôle déterminant dans ce domaine.

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La Fondation Jeunes en Tête a pour mission de prévenir la détresse psychologique des jeunes de 11 à 18 ans au Québec. Ils accomplissent cette mission en offrant aux adolescents, à leurs parents, au personnel scolaire et aux intervenants des trousses en ligne et des ateliers de sensibilisation en santé mentale dans les écoles secondaires. Leurs services et leurs contenus sont bilingues et offerts gratuitement. Déstigmatiser, sensibiliser et outiller, voici les gestes concrets qu’ils posent chaque jour pour aider les prochaines générations à faire face aux défis de la vie. En 2019, la Fondation Jeunes en Tête a été le récipiendaire du prix Méritas organisation de l'année par l'Association québécoise de la prévention du suicide (AQPS), pour son rôle déterminant dans ce domaine.

11h05 - 12h15

Soyons civilisés!

Denis Jeffrey

Professeur titulaire à la Faculté des sciences de l’éducation à l’Université Laval et spécialiste des rites sociaux

Se présenter en serrant la main. S’excuser après avoir accroché une personne dans le corridor. Éviter de mettre ses pieds sur la table quand on mange… Et si on vous disait que des gestes aussi banals ont le pouvoir de faire diminuer la violence? Et que c’est par les règles de civilité que les enfants et les ados en viennent généralement à maitriser leurs réactions spontanées et leurs émotions agressives?

Et si on vous confiait que c’est en apprenant à respecter tous ces petits gestes de civilité que les jeunes apprennent ce qu’est l’égalité devant les règles, le respect réciproque, la confiance mutuelle et préférer la loi à l’insécurité, par exemple?

Assez dit!

Nous laissons à Denis Jeffrey le soin de vous l’expliquer! Et c’est avec une tonne d’exemples concrets, superhéros compris, qu’il le fera!

Détour sympa et éclairant dans le pouvoir méconnu des petits gestes de civilité et leur impact surprenant sur la violence, le tout présenté par un sociologue passionné qui est aussi professeur à la Faculté des sciences de l’éducation à l’Université Laval.

Author picture

Denis Jeffrey est sociologue de formation, professeur titulaire à la Faculté des sciences de l'éducation de l'Université Laval et chercheur régulier au Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE-Laval). Il est l’auteur de nombreux livres et il a mené plusieurs études reliées au milieu scolaire, dont sur la violence. Il s'intéresse également à la cyberintimidation et aux rites sociaux.

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Denis Jeffrey est sociologue de formation, professeur titulaire à la Faculté des sciences de l'éducation de l'Université Laval et chercheur régulier au Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE-Laval). Il est l’auteur de nombreux livres et il a mené plusieurs études reliées au milieu scolaire, dont sur la violence. Il s'intéresse également à la cyberintimidation et aux rites sociaux.

11h05 - 12h15

Soyons civilisés!

Se présenter en serrant la main. S’excuser après avoir accroché une personne dans le corridor. Éviter de mettre ses pieds sur la table quand on mange… Et si on vous disait que des gestes aussi banals ont le pouvoir de faire diminuer la violence? Et que c’est par les règles de civilité que les enfants et les ados en viennent généralement à maitriser leurs réactions spontanées et leurs émotions agressives?

Et si on vous confiait que c’est en apprenant à respecter tous ces petits gestes de civilité que les jeunes apprennent ce qu’est l’égalité devant les règles, le respect réciproque, la confiance mutuelle et préférer la loi à l’insécurité, par exemple?

Assez dit!

Nous laissons à Denis Jeffrey le soin de vous l’expliquer! Et c’est avec une tonne d’exemples concrets, superhéros compris, qu’il le fera!

Détour sympa et éclairant dans le pouvoir méconnu des petits gestes de civilité et leur impact surprenant sur la violence, le tout présenté par un sociologue passionné qui est aussi professeur à la Faculté des sciences de l’éducation à l’Université Laval.

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Denis Jeffrey est sociologue de formation, professeur titulaire à la Faculté des sciences de l'éducation de l'Université Laval et chercheur régulier au Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE-Laval). Il est l’auteur de nombreux livres et il a mené plusieurs études reliées au milieu scolaire, dont sur la violence. Il s'intéresse également à la cyberintimidation et aux rites sociaux.

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Denis Jeffrey est sociologue de formation, professeur titulaire à la Faculté des sciences de l'éducation de l'Université Laval et chercheur régulier au Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante (CRIFPE-Laval). Il est l’auteur de nombreux livres et il a mené plusieurs études reliées au milieu scolaire, dont sur la violence. Il s'intéresse également à la cyberintimidation et aux rites sociaux.

13h15 - 14h15

Tableau, boulot, chaos

Caroline Levasseur

Enseignante au Centre de services scolaire des Premières-Seigneuries

Ils étaient, il y a quelques mois encore, des élèves en difficulté, des élèves avec des troubles ou des besoins spéciaux. Ou des élèves tout court. Ils deviennent maintenant chef d’équipe, gérant, associé…

Au cours de la dernière année, le marché du travail est venu dérober une grande partie de la vie des jeunes, laissant des chaises à moitié vides dans les écoles; un effet de la pandémie.

En 2021, Caroline Levasseur et Alain Drolet sont partis à la rencontre des jeunes. Elle est enseignante au Centre de services scolaire des Premières-Seigneuries et lui a longtemps été lui chercheur clinicien en santé mentale dans le milieu scolaire. Ils ont rencontré plus de 450 élèves âgés de 16 à 23 ans, dans une trentaine d’écoles de formation générale aux adultes.

Ensemble, ils ont tenté de comprendre la quête des jeunes « post pandémiques ».

Ce qu’ils ont découvert va bien au-delà de l’abandon scolaire au profit du travail. Et touche aussi celles et ceux dans les écoles régulières.

Chez nos jeunes, il y a de la fatigue et du chaos. Mais il y a une nouvelle richesse aussi.

« Si l’orage ne fait pas trop de dégâts, ils reviendront dans nos classes. En vérité, ce sera un retour à soi. Entre temps, on doit changer notre façon de les accompagner. Nous devons partir de leur vision, de leur perception. Parce que leur confiance a été ébranlée. Si on s’adapte, on risque d’avoir quelque chose d’encore plus beau qu’avant ».

Pour vous, Caroline Levasseur explique.

Author picture

Caroline Levasseur détient une maîtrise en enseignement de l’Université de Sherbrooke. Elle a enseigné pendant 12 ans en France avant de s’installer au Québec,  elle enseigne depuis 13 ans aux jeunes de la formation générale aux adultes. Elle est l’auteure du livre « Vivre l’école autrement » publié en 2020 sur la pédagogie différenciée. Suite à sa collaboration avec le chercheur et clinicien Alain Drolet, et avec son soutient, Caroline Levasseur poursuit un projet de recherche sur la réalité des jeunes en difficulté. Elle est profondément convaincue que les enseignants et les intervenants qui travaillent auprès des jeunes en difficulté, que ces élèves évoluent ou non dans les écoles de formation générale aux adultes, sont capables de leur transmettre les outils nécessaires pour se développer de manière authentique et positive. La clé? Comprendre leur réalité et leur vision. Selon elle, cette approche est d'autant plus importante depuis la pandémie, qui a changé la quête identitaire des jeunes.

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Caroline Levasseur détient une maîtrise en enseignement de l’Université de Sherbrooke. Elle a enseigné pendant 12 ans en France avant de s’installer au Québec,  elle enseigne depuis 13 ans aux jeunes de la formation générale aux adultes. Elle est l’auteure du livre « Vivre l’école autrement » publié en 2020 sur la pédagogie différenciée. Suite à sa collaboration avec le chercheur et clinicien Alain Drolet, et avec son soutient, Caroline Levasseur poursuit un projet de recherche sur la réalité des jeunes en difficulté. Elle est profondément convaincue que les enseignants et les intervenants qui travaillent auprès des jeunes en difficulté, que ces élèves évoluent ou non dans les écoles de formation générale aux adultes, sont capables de leur transmettre les outils nécessaires pour se développer de manière authentique et positive. La clé? Comprendre leur réalité et leur vision. Selon elle, cette approche est d'autant plus importante depuis la pandémie, qui a changé la quête identitaire des jeunes.

13h15 - 14h15

Tableau, boulot, chaos

Ils étaient, il y a quelques mois encore, des élèves en difficulté, des élèves avec des troubles ou des besoins spéciaux. Ou des élèves tout court. Ils deviennent maintenant chef d’équipe, gérant, associé…

Au cours de la dernière année, le marché du travail est venu dérober une grande partie de la vie des jeunes, laissant des chaises à moitié vides dans les écoles; un effet de la pandémie.

En 2021, Caroline Levasseur et Alain Drolet sont partis à la rencontre des jeunes. Elle est enseignante au Centre de services scolaire des Premières-Seigneuries et lui a longtemps été lui chercheur clinicien en santé mentale dans le milieu scolaire. Ils ont rencontré plus de 450 élèves âgés de 16 à 23 ans, dans une trentaine d’écoles de formation générale aux adultes.

Ensemble, ils ont tenté de comprendre la quête des jeunes « post pandémiques ».

Ce qu’ils ont découvert va bien au-delà de l’abandon scolaire au profit du travail. Et touche aussi celles et ceux dans les écoles régulières.

Chez nos jeunes, il y a de la fatigue et du chaos. Mais il y a une nouvelle richesse aussi.

« Si l’orage ne fait pas trop de dégâts, ils reviendront dans nos classes. En vérité, ce sera un retour à soi. Entre temps, on doit changer notre façon de les accompagner. Nous devons partir de leur vision, de leur perception. Parce que leur confiance a été ébranlée. Si on s’adapte, on risque d’avoir quelque chose d’encore plus beau qu’avant ».

Pour vous, Caroline Levasseur explique.

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Caroline Levasseur détient une maîtrise en enseignement de l’Université de Sherbrooke. Elle a enseigné pendant 12 ans en France avant de s’installer au Québec,  elle enseigne depuis 13 ans aux jeunes de la formation générale aux adultes. Elle est l’auteure du livre « Vivre l’école autrement » publié en 2020 sur la pédagogie différenciée. Suite à sa collaboration avec le chercheur et clinicien Alain Drolet, et avec son soutient, Caroline Levasseur poursuit un projet de recherche sur la réalité des jeunes en difficulté. Elle est profondément convaincue que les enseignants et les intervenants qui travaillent auprès des jeunes en difficulté, que ces élèves évoluent ou non dans les écoles de formation générale aux adultes, sont capables de leur transmettre les outils nécessaires pour se développer de manière authentique et positive. La clé? Comprendre leur réalité et leur vision. Selon elle, cette approche est d'autant plus importante depuis la pandémie, qui a changé la quête identitaire des jeunes.

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Caroline Levasseur détient une maîtrise en enseignement de l’Université de Sherbrooke. Elle a enseigné pendant 12 ans en France avant de s’installer au Québec,  elle enseigne depuis 13 ans aux jeunes de la formation générale aux adultes. Elle est l’auteure du livre « Vivre l’école autrement » publié en 2020 sur la pédagogie différenciée. Suite à sa collaboration avec le chercheur et clinicien Alain Drolet, et avec son soutient, Caroline Levasseur poursuit un projet de recherche sur la réalité des jeunes en difficulté. Elle est profondément convaincue que les enseignants et les intervenants qui travaillent auprès des jeunes en difficulté, que ces élèves évoluent ou non dans les écoles de formation générale aux adultes, sont capables de leur transmettre les outils nécessaires pour se développer de manière authentique et positive. La clé? Comprendre leur réalité et leur vision. Selon elle, cette approche est d'autant plus importante depuis la pandémie, qui a changé la quête identitaire des jeunes.

14h25 - 15h40

La masculinité antitoxique: mode d’emploi pour les jeunes

Michel Dorais

Sociologue de la sexualité, professeur titulaire retraité à l’École de travail social et de criminologie de l’Université Laval

Des gars ont aujourd’hui le sentiment qu’on leur reproche presque d’être ce qu’ils sont. On peut pourtant dénoncer les comportements toxiques sans diaboliser les jeunes qui sont tombés là-dedans. Aucun gars n’est prédestiné à avoir des comportements toxiques envers lui-même ou les autres.

Aujourd’hui, Michel Dorais, sociologue de la sexualité et professeur retraité en travail social à l’Université Laval va encore plus loin : «Chacun d’eux, dit-il, a le pouvoir d’être antitoxique».

Comment y arriver? Comment transmettre aux jeunes les principes de base d’une masculinité bienveillante et créative? Comment prévenir chez eux les conduites toxiques? Comment leur apprendre à résoudre leurs problèmes sans agressivité ni violence envers autrui?

Cet expert passionné, qui est enseignant, intervenant et expert en prévention depuis plus de 40 ans, en a une bonne idée. Il travaille actuellement à titre d’expert et formateur auprès de fédérations sportives regroupant des jeunes hommes de 15 à 20 ans, avec qui il met en pratique les principes de l’antitoxicité.

Avec Michel Dorais, on plonge au cœur de la masculinité avec réalisme, nuance et sensibilité, parfois avec une touche d’humour et de nombreux exemples à l’appui. Il propose des idées inspirantes et des actions concrètes pour favoriser l’antitoxicité chez les jeunes.

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Michel Dorais, PhD., détient un doctorat en travail social et un postdoctorat en sociologie de la sexualité. Il a enseigné pendant plus de 40 ans l’intervention et la prévention. Il a fait partie du comité expert nommé par la Ministre de la Justice du Québec sur le soutien aux victimes de violences sexuelles ou conjugales, qui a déposé le rapport « Rebâtir la confiance » à l’Assemblée nationale en 2020. Il a publié plus de vingt-cinq ouvrages, dont certains ont été traduits à l’international. Les derniers ouvrages de Michel Dorais sont Guide de bonne conduite sexuelle à l’usage des gars et La masculinité antitoxique, tous deux publiés chez Trécarré.

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Michel Dorais, PhD., détient un doctorat en travail social et un postdoctorat en sociologie de la sexualité. Il a enseigné pendant plus de 40 ans l’intervention et la prévention. Il a fait partie du comité expert nommé par la Ministre de la Justice du Québec sur le soutien aux victimes de violences sexuelles ou conjugales, qui a déposé le rapport « Rebâtir la confiance » à l’Assemblée nationale en 2020. Il a publié plus de vingt-cinq ouvrages, dont certains ont été traduits à l’international. Les derniers ouvrages de Michel Dorais sont Guide de bonne conduite sexuelle à l’usage des gars et La masculinité antitoxique, tous deux publiés chez Trécarré.

14h25 - 15h40

La masculinité antitoxique: mode d’emploi pour les jeunes

Des gars ont aujourd’hui le sentiment qu’on leur reproche presque d’être ce qu’ils sont. On peut pourtant dénoncer les comportements toxiques sans diaboliser les jeunes qui sont tombés là-dedans. Aucun gars n’est prédestiné à avoir des comportements toxiques envers lui-même ou les autres.

Aujourd’hui, Michel Dorais, sociologue de la sexualité et professeur retraité en travail social à l’Université Laval va encore plus loin : «Chacun d’eux, dit-il, a le pouvoir d’être antitoxique».

Comment y arriver? Comment transmettre aux jeunes les principes de base d’une masculinité bienveillante et créative? Comment prévenir chez eux les conduites toxiques? Comment leur apprendre à résoudre leurs problèmes sans agressivité ni violence envers autrui?

Cet expert passionné, qui est enseignant, intervenant et expert en prévention depuis plus de 40 ans, en a une bonne idée. Il travaille actuellement à titre d’expert et formateur auprès de fédérations sportives regroupant des jeunes hommes de 15 à 20 ans, avec qui il met en pratique les principes de l’antitoxicité.

Avec Michel Dorais, on plonge au cœur de la masculinité avec réalisme, nuance et sensibilité, parfois avec une touche d’humour et de nombreux exemples à l’appui. Il propose des idées inspirantes et des actions concrètes pour favoriser l’antitoxicité chez les jeunes.

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Michel Dorais, PhD., détient un doctorat en travail social et un postdoctorat en sociologie de la sexualité. Il a enseigné pendant plus de 40 ans l’intervention et la prévention. Il a fait partie du comité expert nommé par la Ministre de la Justice du Québec sur le soutien aux victimes de violences sexuelles ou conjugales, qui a déposé le rapport « Rebâtir la confiance » à l’Assemblée nationale en 2020. Il a publié plus de vingt-cinq ouvrages, dont certains ont été traduits à l’international. Les derniers ouvrages de Michel Dorais sont Guide de bonne conduite sexuelle à l’usage des gars et La masculinité antitoxique, tous deux publiés chez Trécarré.

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Michel Dorais, PhD., détient un doctorat en travail social et un postdoctorat en sociologie de la sexualité. Il a enseigné pendant plus de 40 ans l’intervention et la prévention. Il a fait partie du comité expert nommé par la Ministre de la Justice du Québec sur le soutien aux victimes de violences sexuelles ou conjugales, qui a déposé le rapport « Rebâtir la confiance » à l’Assemblée nationale en 2020. Il a publié plus de vingt-cinq ouvrages, dont certains ont été traduits à l’international. Les derniers ouvrages de Michel Dorais sont Guide de bonne conduite sexuelle à l’usage des gars et La masculinité antitoxique, tous deux publiés chez Trécarré.

15h50 - 16h20

Persévérance: le sculpteur de diamant brut

Samuel Coulombe

Témoignage

Certaines histoires, comme celle de Samuel, sortent de l’ordinaire.

L’année dernière, le jeune homme de 23 ans a complété un baccalauréat en Sciences de la Terre et de l’atmosphère à l’UQAM. Il fait maintenant sa maîtrise en géologie à l’Université Laval.

Il est épanoui et complètement passionné par la science.

Son parcours est remarquable car à peine 1 jeune de la DPJ sur 4 obtient un diplôme d’études secondaires.

En effet, Samuel a été placé à la DPJ dès sa naissance en raison des problèmes de consommation de sa mère. Des embûches et des découragements, il en a vécu. « C’est comme une course, mais les jeunes de la DPJ commencent avec une centaine de mètres de retard », dit-il. Mais il a persévéré avec une dose énorme de conviction.

Samuel a un message pour tous les jeunes qui vivent en situation de vulnérabilité et pour ceux qui les entourent : « Ne pense pas que tu n’es pas fait pour réussir. La persévérance, ça paie et ça vaut la peine d’investir en nous, les jeunes de la DPJ. On a tellement de potentiel! ».

La vision et les leçons de ce jeune bien déterminé à accomplir ce qu’il a envisagé pour lui-même valent la peine d’être entendues.

Pour vous, il raconte.

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Témoignage

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Témoignage

15h50 - 16h20

Persévérance: le sculpteur de diamant brut

Certaines histoires, comme celle de Samuel, sortent de l’ordinaire.

L’année dernière, le jeune homme de 23 ans a complété un baccalauréat en Sciences de la Terre et de l’atmosphère à l’UQAM. Il fait maintenant sa maîtrise en géologie à l’Université Laval.

Il est épanoui et complètement passionné par la science.

Son parcours est remarquable car à peine 1 jeune de la DPJ sur 4 obtient un diplôme d’études secondaires.

En effet, Samuel a été placé à la DPJ dès sa naissance en raison des problèmes de consommation de sa mère. Des embûches et des découragements, il en a vécu. « C’est comme une course, mais les jeunes de la DPJ commencent avec une centaine de mètres de retard », dit-il. Mais il a persévéré avec une dose énorme de conviction.

Samuel a un message pour tous les jeunes qui vivent en situation de vulnérabilité et pour ceux qui les entourent : « Ne pense pas que tu n’es pas fait pour réussir. La persévérance, ça paie et ça vaut la peine d’investir en nous, les jeunes de la DPJ. On a tellement de potentiel! ».

La vision et les leçons de ce jeune bien déterminé à accomplir ce qu’il a envisagé pour lui-même valent la peine d’être entendues.

Pour vous, il raconte.

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Témoignage

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Témoignage

16h20

Mot de la fin

16h20

Mot de la fin

Foire aux questions

FAQ

Dois-je être présent au direct pour avoir accès au différé?

Activité de formation continue en psychothérapie reconnue par l’Ordre des psychologues du Québec pour 6h45. No de reconnaissance OPQ RE05576-23.

Formation dont l’admissibilité a été confirmée par l’Ordre professionnel des criminologues du Québec aux fins de la formation continue obligatoire, pour une durée de 6 heures et 45 minutes.

Formation dont l’admissibilité a été confirmée par le Barreau du Québec aux fins de la formation continue obligatoire, pour une durée de 6.75 heures.

Vais-je recevoir mon propre lien si je m'inscris en groupe?

Oui. Les inscriptions de groupe comportent les mêmes privilèges que les inscriptions individuelles; chaque participant recevra un courriel avec un lien Zoom personnalisé pour le visionnement en direct et un profil sera créé pour lui sur le site de Conférences Connexion après l’événement afin d’accéder au visionnement en différé.

Est-ce qu'une attestation de participation est fournie?
  1. Une attestation de participation sera remise:
    1. aux participants qui auront assisté à l’événement en direct sur Zoom (a. Pour une journée régulière, une présence d’une durée minimum de 5 heures est demandée / b. Pour une mini journée, une présence pour la durée complète de l’événement est demandée) ou
    2. aux personnes qui auront regardé l’ensemble des vidéos disponibles sur la plateforme de visionnement en différé

Consultez la section Formation continue pour connaître le nombre d’heures reconnues.

J'ai un empêchement. Puis-je annuler mon inscription?

Les changements de participants et les demandes d’annulation sont acceptés. Toutefois, pour laisser la chance à tout le monde de profiter de nos journées conférences, aucun remboursement ne sera accordé pour les annulations reçues à moins de 10 jours de la date de l’événement.

Tarifs et
inscription

Tarifs et inscription

Grille tarifaire et rabais de groupe

Tarif régulier

Ex: milieu scolaire, services de police, CISSS/CIUSSS, etc.

Tarif organismes communautaires / étudiants

Ex: OSBL/OBNL, maisons des jeunes, cje, CALACS, CAVACS, etc.)

Politique d'annulation

Les changements de participants et les demandes d’annulation sont acceptés. Toutefois, pour laisser la chance à tout le monde de profiter de nos journées conférences, aucun remboursement ne sera accordé pour les annulations reçues à moins de 10 jours de la date de l’événement.

Moyens de paiement

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